Lutte contre l’oubli, l’alignement idéologique, la perte d’identité

Lutte contre l’oubli, l’alignement idéologique, la perte d’identité

Résister à l’effacement, refuser la dilution, rester soi


🧭 Introduction

La souveraineté ne se réduit pas à l’indépendance militaire ou économique.
Elle repose d’abord sur une clarté intérieure : savoir qui l’on est, ce que l’on transmet, ce que l’on refuse de devenir.
Aujourd’hui, la France est confrontée à trois menaces silencieuses, mais profondes :

  • L’oubli de son histoire,

  • L’alignement idéologique forcé,

  • La perte de son identité nationale.

Ces glissements, souvent invisibles, sapent les fondations d’une nation forte.
Le Cercle Albert Roche s’y oppose avec constance, conviction et engagement.


🕯️ 1. L’oubli : un effacement programmé du passé

L’oubli n’est pas un accident. C’est parfois un projet politique.
Une nation qui ne se souvient plus, ne sait plus ce qu’elle défend.

Symptômes :

  • Disparition ou marginalisation de figures historiques (héros militaires, résistants, bâtisseurs),

  • Affaiblissement de la mémoire des guerres, de la transmission familiale, du patrimoine vivant,

  • Mépris ou confusion autour des rites républicains, commémorations, symboles.

Position du Cercle :

  • Réactiver la mémoire nationale comme socle de cohésion,

  • Valoriser les témoignages de terrain, les actions locales, les figures oubliées,

  • Lutter contre la cancel culture historique, qui juge le passé au prisme idéologique du présent.

Une mémoire assumée n’est pas une menace. C’est une force.


🧠 2. L’alignement idéologique : quand la pensée cesse d’être libre

Dans un monde globalisé, il est tentant d’adopter des grilles de lecture toutes faites.
Mais la France doit garder sa propre voix, son regard, son analyse.

Menaces :

  • Uniformisation des discours par le prisme anglo-saxon ou technocratique,

  • Effacement de la pensée stratégique française au profit de modèles extérieurs (civilisationnels, militaires, universitaires),

  • Pressions médiatiques et académiques qui réduisent le débat, excluent la nuance, criminalisent la complexité.

Position du Cercle :

  • Défendre l’indépendance intellectuelle, dans les écoles, les institutions, les médias,

  • Soutenir une doctrine militaire, diplomatique et historique française, assumée et transmise,

  • Créer un espace de débat libre, rigoureux, enraciné dans l’intérêt général.

Penser par soi-même, c’est déjà résister.


🇫🇷 3. La perte d’identité : le danger le plus profond

L’identité nationale n’est ni figée, ni mythique.
Elle est vivante, transmise, choisie, faite de mémoire, de langue, de territoire, de valeurs.

Mais aujourd’hui :

  • Elle est relativisée dans le discours public,

  • Fragmentée par des logiques communautaires ou idéologiques,

  • Silencieuse dans les programmes scolaires, les représentations médiatiques, les lieux symboliques.

Position du Cercle :

  • Réaffirmer que l’identité française existe, évolue mais demeure,

  • Enseigner la culture républicaine, la fierté de la nation, l’unité dans la diversité,

  • Défendre une France sûre d’elle, accueillante parce qu’ancrée, et non dissoute dans le flottement.


🛡️ Une souveraineté culturelle et intérieure

L’oubli, l’alignement idéologique et la perte d’identité sont des formes modernes de dépossession.
Sans mémoire, on répète les erreurs.
Sans pensée libre, on subit l’histoire.
Sans identité, on ne défend plus rien.

Le Cercle Albert Roche agit pour une reconquête douce mais ferme :

  • De la mémoire combattante,

  • De la pensée stratégique française,

  • De l’idée de la France comme nation à part entière.


🔚 Conclusion

Ce que nous oublions nous quitte. Ce que nous imitons nous transforme. Ce que nous renions nous perd.
Face au grand brouillard du présent, se souvenir, penser et transmettre sont des actes de souveraineté.

✍️ Cercle Albert Roche – Nous ne voulons pas dominer le monde. Nous voulons rester nous-mêmes.